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Author Archive %s Damien KAISER

L’écriture, un exercice de psychomotricité fine

L’écriture est une activité courante qui est enseignée dès l’école primaire. Elle est utilisée pour communiquer des idées, pour exprimer des émotions, pour prendre des notes, pour résoudre des problèmes, et pour écrire des examens. Cependant, pour certains enfants, l’écriture peut devenir un véritable défi. En effet, la désorganisation de l’écriture chez les enfants scolarisés peut être un indice sérieux de problèmes émotionnels ou de perturbations familiales.

Le geste d’écriture est un geste qui exige une précision extrême, jusqu’à 10e de millimètres, car il fait appel à des mouvements fins des doigts, des mains et des bras. Ce geste implique des fonctions motrices, perceptives, cognitives et émotionnelles. En d’autres termes, l’écriture est un acte complexe qui nécessite une coordination fine et une concentration de qualité.

L’émotionnel est un facteur important qui peut affecter la qualité de l’écriture. Les chocs émotionnels, les perturbations sérieuses et familiales, les soucis et les angoisses peuvent perturber la concentration de l’enfant et altérer sa précision motrice. En effet, les pensées et les émotions qui traversent l’esprit de l’enfant pendant l’écriture peuvent perturber la qualité de son graphisme.

La qualité du geste moteur est un autre aspect à prendre en compte dans l’écriture. Les enfants qui ont des difficultés de coordination motrice ou qui souffrent de troubles de l’apprentissage peuvent avoir du mal à écrire correctement. Ils peuvent rencontrer des problèmes tels que des lettres mal formées, des espacements irréguliers, des écritures illisibles et des erreurs de ponctuation.

En conclusion, la désorganisation de l’écriture chez les enfants scolarisés peut être un indice sérieux de problèmes émotionnels ou de perturbations familiales. Le geste d’écriture exige une précision extrême, et l’émotionnel peut perturber cette précision. Le geste moteur est également un facteur à prendre en compte. Il est donc important pour les parents et les enseignants de surveiller l’écriture des enfants et de rechercher des signes de désorganisation pour identifier les problèmes émotionnels ou les troubles de l’apprentissage et offrir un soutien adéquat.

 

 

 

 

En graphologie, il est important de toujours garder à l’esprit qu’il s’agit d’une science humaine.
Restons attentifs à  la règle de 3P : Prudence, prudence, prudence.

 

Pourquoi toutes les écritures sont différentes

L’écriture est une activité universelle qui est pratiquée depuis des millénaires. Chaque individu possède une écriture qui lui est propre, et qui varie en fonction de nombreux facteurs tels que l’éducation, la culture, la personnalité et la santé physique. Dans cette dissertation, nous allons explorer les raisons pour lesquelles toutes les écritures sont différentes.

Tout d’abord, la variété des écritures est due à l’influence de l’éducation et de la culture. Les enfants apprennent à écrire en observant les adultes et en suivant les normes établies par leur environnement culturel. Les enseignants et les parents leur enseignent les règles de la grammaire, de l’orthographe et de la ponctuation, et les encouragent à adopter un style d’écriture standardisé. Cependant, même si les règles de base sont les mêmes, chaque individu apporte une touche personnelle à son écriture, qui est influencée par ses propres expériences et ses préférences.

Ensuite, les différences dans l’écriture sont dues à la personnalité de chaque individu. Les graphologues affirment que l’écriture peut révéler des traits de personnalité, et que les variations dans l’écriture peuvent être utilisées pour évaluer les caractéristiques psychologiques d’une personne. Par exemple, une écriture serrée et précise peut indiquer une personnalité rigoureuse et organisée, tandis qu’une écriture plus grande et plus libre peut révéler une personnalité plus expressive et créative. Ainsi, chaque individu utilise son écriture pour exprimer sa propre personnalité et ses émotions.

En outre, les différences dans l’écriture peuvent être influencées par des facteurs physiques tels que la santé et les habitudes posturales. Certaines conditions médicales peuvent affecter l’écriture, par exemple, la maladie de Parkinson peut entraîner une écriture tremblante et hachurée. De plus, les habitudes posturales, telles que la façon dont une personne tient son stylo, peuvent également avoir une incidence sur l’écriture. Par conséquent, chaque individu possède une écriture qui est unique à sa propre expérience physique et émotionnelle.

Enfin, les différences dans l’écriture peuvent également être influencées par des facteurs sociaux et culturels. Dans certaines cultures, l’écriture manuscrite est considérée comme une forme d’art et est donc plus élaborée et stylisée. Dans d’autres cultures, l’écriture manuscrite est considérée comme une forme de communication plus simple et plus pratique, et est donc plus simple et moins stylisée. Par conséquent, la variation de l’écriture peut être liée à la culture et à la société dans laquelle elle est pratiquée.

En conclusion, les différences dans l’écriture sont dues à une combinaison de facteurs tels que l’éducation, la culture, la personnalité, la santé physique et les habitudes posturales. Chaque individu possède une écriture qui lui est propre, et qui reflète sa personnalité et ses expériences uniques. L’écriture est donc une forme d’expression personnelle qui est riche en informations sur l’individu et son contexte culturel et social. Toutefois, il est important de souligner que l’écriture n’est pas une méthode fiable pour déterminer les caractéristiques psychologiques ou les compétences d’un individu. Les interprétations de l’écriture peuvent être influencées par des stéréotypes et des préjugés, et ne peuvent donc pas être considérées comme des évaluations objectives. En fin de compte, la variété des écritures est un témoignage de la richesse et de la diversité de l’expérience humaine, et mérite d’être célébrée en tant que telle.

 

 

 

 

En graphologie, il est important de toujours garder à l’esprit qu’il s’agit d’une science humaine.
Restons attentifs à  la règle de 3P : Prudence, prudence, prudence.

 

Le procès de la graphologie

La graphologie est une méthode d’analyse de l’écriture manuscrite qui prétend décrire la personnalité, les aptitudes et les compétences d’un individu à partir de ses caractéristiques graphiques. Bien que certains professionnels et entreprises continuent d’utiliser cette technique pour évaluer les candidats dans le cadre du recrutement, la graphologie est souvent critiquée en tant que science humaine pour diverses raisons.

Tout d’abord, la graphologie n’a pas été scientifiquement validée en tant que méthode d’évaluation fiable et précise. Les études menées sur la graphologie ont souvent été mal conçues ou manquaient de rigueur méthodologique, et les résultats ont été largement contradictoires. Les partisans de la graphologie prétendent que cette méthode est basée sur une théorie solide de la personnalité, mais cette théorie n’a jamais été validée empiriquement. Par conséquent, l’utilisation de la graphologie en tant que méthode d’évaluation peut conduire à des erreurs de jugement et à des décisions injustes.

De plus, la graphologie est souvent considérée comme étant subjective et interprétative. Les graphologues utilisent des critères tels que la pression, la taille, la forme et l’inclinaison de l’écriture pour tirer des conclusions sur la personnalité d’un individu. Cependant, ces critères peuvent être interprétés de différentes manières, et les résultats peuvent varier en fonction du graphologue qui effectue l’analyse. Par conséquent, les résultats de la graphologie peuvent être influencés par les biais et les opinions personnelles du graphologue, ce qui peut rendre la méthode peu fiable et subjective.

En outre, la graphologie est souvent critiquée pour son manque d’objectivité et de standardisation. Contrairement aux tests psychométriques standardisés qui sont utilisés pour évaluer les compétences et les aptitudes des candidats, la graphologie ne dispose pas de normes ou de critères de référence clairement définis. Par conséquent, les résultats peuvent varier considérablement en fonction du graphologue et des critères qu’il utilise pour effectuer l’analyse.

Enfin, l’utilisation de la graphologie en tant que méthode d’évaluation peut être considérée comme étant discriminatoire et injuste. La graphologie repose sur l’idée que l’écriture manuscrite peut révéler des traits de personnalité, des aptitudes et des compétences. Cependant, cette hypothèse n’est pas étayée par des preuves scientifiques solides, et elle peut conduire à des stéréotypes et à des préjugés injustes. Par exemple, certains graphologues prétendent que les personnes qui ont une écriture petite et serrée sont introverties et peu extraverties, tandis que les personnes qui ont une écriture large et aérée sont extraverties et confiantes. Cette hypothèse est non seulement inexacte, mais elle peut également conduire à des discriminations injustes dans le cadre du recrutement.

En conclusion, la graphologie est souvent critiquée en tant que science humaine dans le recrutement en raison de son manque de validité scientifique, de sa subjectivité et de son manque d’objectivité et de standardisation. De plus, l’utilisation de la graphologie peut être considérée comme étant discriminatoire et injuste en raison de l’utilisation de stéréotypes et de préjugés dans l’analyse de l’écriture manuscrite. Malgré ces critiques, certains professionnels continuent d’utiliser la graphologie dans le cadre du recrutement, arguant qu’elle peut fournir des informations utiles sur les candidats. Cependant, il est important de se rappeler que la graphologie n’est pas une méthode d’évaluation fiable et scientifiquement validée, et qu’elle peut conduire à des erreurs de jugement et à des discriminations injustes. Pour des évaluations précises et objectives, il est recommandé d’utiliser des tests psychométriques standardisés qui ont fait leurs preuves en matière d’évaluation des compétences et des aptitudes des candidats.

 

 

 

 

En graphologie, il est important de toujours garder à l’esprit qu’il s’agit d’une science humaine.
Restons attentifs à  la règle de 3P : Prudence, prudence, prudence.

 

 

Expertise : Dirty tricks au PMO: Ken Arian trahi par son écriture analysée par un graphologue réunionnais

«Mo’nn gagn enn let ki kontenir bann grav alegasyon kont Madam Gurib-Fakim ek monn refer sa l’ICAC», disait Pravind Jugnauth le 23 mars 2018, quelques heures après la démission d’Ameenah Gurib-Fakim de la présidence de la République. Celle-ci était alors dans un cyclone provoqué par les révélations de l’express sur le fait qu’elle ait utilisé une carte de crédit Platinum mise à sa disposition par le Planet Earth Institute, dirigé par le controversé Alvaro Sobrinho. Face au refus d’Ameenah Gurib-Fakim de démissionner comme le souhaitait Pravind Jugnauth, un bras de fer sans précédent s’était installé au sommet de l’État. Ameenah-Gurib Fakim avait tenté de rester en poste en instituant une commission d’enquête. Au final, elle a dû plier bagages et a elle-même fait face à une commission d’enquête.

Pendant que tout cela se tramait et que les festivités des 50 ans d’Indépendance du pays étaient gâchées, Pravind Jugnauth avait reçu une lettre anonyme. Cette lettre, à proprement parler, n’a eu aucune incidence technique sur la chronologie des événements car les révélations de l’express étaient elles-mêmes soutenues par une documentary evidence indéniable, notamment les relevés bancaires de la présidente.

Voir le document

Une ébauche de la lettre anonyme remise au Premier ministre. Les annotations et corrections manuscrites ont été comparées à d’autres documents dont une lettre officielle de Ken Arian.

Un des documents de comparaison d’écriture : une lettre officielle de Ken Arian aux actionnaires d’Airport Holdings Ltd.

 

Mais bizarrement, Pravind Jugnauth y avait accordé une grande importance. Le Premier ministre en révèle l’existence le 23 mars, le jour où Ameenah Gurib-Fakim quitte définitivement la State House. Puis il renchérit le 27 mars lors de la Private Notice Question du leader de l’opposition, en disant à Xavier-Luc Duval que lui aussi devrait en avoir une copie ; ce que le leader du PMSD avait nié. «Je peux la déposer», avait alors dit Pravind Jugnauth. Ce qu’il n’a jamais fait jusqu’ici. Ce qui a entretemps fait dire à Ameenah Gurib-Fakim, dans quasiment toutes ses interviews, «le Premier ministre a parlé d’une lettre anonyme contenant de graves allégations contre moi ; or je n’ai jamais vu cette lettre, et je ne connais pas son contenu».

 

La main d’Arian

Aujourd’hui le contenu de cette lettre éclate au grand jour. Des sources fiables nous ont fait parvenir une ébauche rédigée sur ordinateur et imprimée, contenant des corrections manuscrites. Soupçon- nant que ce soit l’écriture de Ken Arian, elles ont demandé l’avis d’un expert-graphologue réunionnais. Celui-ci, du nom de Patrice Balletti, l’a comparé avec un document officiel que signe et date Ken Arian, et une autre lettre que ces mêmes sources attribuent au conseiller du PMO à l’époque. L’avis de l’expert est sans appel : «Tous les manuscrits ont été rédigés de la même main.» C’est donc Ken Arian qui a écrit la fameuse lettre anonyme à laquelle Pravind Jugnauth a accordé tant d’importance. Informée de cette révélation hier, Ameenah Gurib-Fakim s’est demandé s’il a agi seul. «Est-ce qu’un conseiller du Premier ministre prend sur lui pour rédiger une lettre contre la présidente de la République ? Ken Arian avait-il des complices ? À partir du moment où la lettre est remise au Premier ministre, n’y a-t-il pas là complot ?» renchérit-elle.

 

 

Extrait du rapport d’analyse graphologique. Les conclusions de l’expert Patrice Balletti sont sans sans équivoque.

Dans le fond, si cette lettre n’a joué aucun rôle dans la démission d’Ameenah Gurib-Fakim (elle date du 20 mars, alors que la présidente a soumis sa lettre de démission le 17 mars) l’effort consenti par Ken Arian trahit les dirty tricks au PMO suivant les révélations de l’express. Nous avons écrit à Ken Arian hier avec des questions précises sur le but de cette lettre. Il nous a répondu par message WhatsApp «Can I call you later?» Ce qu’il n’a pas fait jusqu’ici.

Voici l’intégralité du rapport du graphologue Patrice Balletti.
(22 pages)

 

Ce qui est sûr, c’est que Ken Arian est en mauvaise posture. Alors que Lakwizin est en mode «jubilation» parce qu’elle est sûre que le jugement dans la pétition de Suren Dayal sera en faveur de Pravind Jugnauth, celui-ci a prévu deux sorties publiques. Sa réponse à la question «saviez-vous que cette lettre a été rédigée par Ken Arian» est à double tranchant. S’il répond par oui, il se fait complice. S’il répond par non, cela voudrait dire que Ken Arian, conseiller du Premier ministre, a utilisé des dirty tricks dans le dos de celui qu’il était censé conseiller, pour qu’il agisse contre la présidente de la République. Pas sûr qu’à partir de là, Ken Arian soit toujours apte à assumer les responsabilités qui lui ont été confiées.